80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« D'aussi loin qu'elle s'en souvienne, Limoges s'est toujours vue dichotome, partage´e entre l'ardent et le paisible, le feu et l'eau, la ferveur religieuse et l'athe´isme, la fe´brilite´ et la force tranquille. [...] Limoges a profite´ de la Belle E´poque pour se refaire une beaute´. La ville s'est me´tamorphose´e gra^ce a` quelques constructions spacieuses et claires dont la gare des Be´ne´dictins, prouesse technique et mode`le esthe´tique, constitue le fleuron. Comme pour mieux inviter les voyageurs a` chabat'z d'entrar, «finissez d'entrer», formule d'accueil en patois limousin, dans une cite´ re´solument moderne. » Pre`s de 300 cartes postales du de´but du xxe sie`cle nous invitent a` visiter Limoges au temps de la Belle E´poque. Patrick Babielle nous conte Limoges en 1900 ; le quartier me´die´val de la Cite´, celui de la Motte ou bien de la gare, sans oublier ceux qui sont en train de nai^tre a` l'exte´rieur de la ville. Une immersion dans le quotidien et les fe^tes d'autrefois, lorsque Limoges, fie`re de ses industries prospe`res - notamment celles de la porcelaine - s'ouvre a` la modernite´ avec l'arrive´e du chemin de fer.
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