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Texte alchimique fort prisé à l'époque médiévale, la Semita recta était alors attribuée (à tort) au plus illustre des maîtres, Albert le Grand. En allant à la rencontre de ce traité dans les plus vieux manuscrits connus, Andrée Colinet en a radicalement modifié l'image : son analyse dévoile une méthode rapide (un « chemin direct ») pour arriver à teindre les métaux vils en or et en argent à partir d'un travail sur les « esprits ». Mais surtout la Semita recta s'est trouvée prolongée, dans un manuscrit de la bibliothèque du Vatican, par une série de recettes alchimiques qui représentent un échantillonnage de tout ce qui pouvait intéresser un lettré de ce temps, passionné par l'alchimie. Ces recettes sont éditées et traduites ici pour la première fois avec un appareil critique qui en identifie certaines sources, notamment des ouvrages latins traduits de l'arabe, comme le « Livre des Soixante-Dix » de Jabir ibn Hayyan (Liber septuaginta) ou le traité « Des aluns et des sels » attribué à al-Razi (De aluminibus et salibus).
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