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De dix ans déjà : Paul Jorion avait séjourné dans l'île de Houat de février 1973 à mai 1974. Au moment de la publication du livre, Paul Jorion était enseignant à l'université de Cambridge. Il a ensuite été fonctionnaire des Nations unies en Afrique, chercheur en intelligence artificielle, avant de travailler dix-huit ans dans la finance, en Europe et aux Etats-Unis.
Il est aujourd'hui commentateur de l'actualité économique et financière sur son blog et dans le supplément économie du journal Le Monde. La quatrième de couverture de l'édition originale soulignait. que Paul Jorion "rend hommage à la dignité d'un métier où seuls l'espoir et de sûres qualités humaines permet lent. de dompter la mer". On y lisait, aussi : "Ce livre saisit. la vie des pêcheurs de l'île de Houat, au large de la presqu'île de Quiberon, au moment où la question de leur survie se pose de façon dramatique.
Il montre le passage difficile d'un village isolé du XIXe au XXe siècle. Ce petit monde révèle, dans sa politique comme dans sa démographie, le râle encore dominant de l'Eglise. L'équilibre à trouver est difficile : la pêche archaïque ne paie plus ; celle plus moderne détruit. les fonds. La fermeture au monde extérieur s'oppose au tourisme de masse qui asphyxie la vie simple et laborieuse. Il faut réinventer la pêche, maintenir les consolations qu'offre le Ciel et découvrir celles que procurent les hommes".
Dans un "Avertissement" inédit, l'auteur évoque "Les pêcheurs d'Houat", près de quarante ans plus tard.
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