La première trace écrite mentionnant l'Atlantide apparaît dans les dialogues nommés Timée et Critias du philosophe grec Platon (Ve-IVe s. avant J.-C.). Il fait parler son ancien maître Socrate qui raconte l'histoire d'une civilisation antérieure aux Grecs. Elle aurait conquis l'ensemble du monde par vanité et orgueil, avant de se faire repousser par l'ancienne Athènes, inférieure en nombre, et de se faire engloutir par les vagues envoyées par le dieu de la mer Poséidon.
Mais depuis Platon, le récit a donné naissance à toutes sortes d'interprétations, surtout à partir de la Renaissance et la découverte de nouveaux continents. Depuis, l'Atlantide est apparue des milliers de fois dans des récits littéraires, des travaux pseudo-scientifiques et des bandes dessinées.
Prétexte d'une exposition dans le Donjon de Gouzon, l'Atlantide est évoquée par le «hublot» du cabinet de curiosités du capitaine Némo.
Dans son Nautilus l'éminent aventurier a constitué le plus curieux, le plus insolite, le plus merveilleux des cabinets de curiosités du monde. Voyage imaginaire dans l'univers des objets, à la fois scientifique et ludique, cette exposition permet de mieux comprendre nos comportements d'aujourd'hui.
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