"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Il fut et est sans doute encore le plus célèbre des cavaliers français, avec son complice de toute une vie, Pierre Jonquères d'Oriola.
En seulement sept années de compétition, entre 1946 et 1953, il remporta la médaille de bronze en individuel aux Jeux Olympiques de Londres en 1948 et une centaine de victoires internationales, avec plus de 50 chevaux différents.
Mais on ne peut pas réduire le Chevalier à un itinéraire équestre, même si les chevaux furent la grande affaire de sa vie. Il mit sa passion, sa détermination et son intelligence au service d'autres disciplines : le stock-car, l'aviation, la navigation. Il fut aussi chasseur de grands fauves en Afrique et ne revint en France que pour prendre le poste d'entraîneur national. Il amena l'équipe de France de sauts d'obstacle à la première place des JO de Montréal en 1976.
Comment le qualifier ? Aventurier. Imperméable à l'ennui, toujours prêt à partir, au bout de la rue ou du monde pour mener à bien son projet, aussi délirant soit-il, comme former des cavaliers en un mois, ou partir pour l'Inde en canot pneumatique.
Jean d'Orgeix (1921-2006) a commencé sa vie en tant qu'acteur et, malgré son titre de vieille noblesse, fut un enfant de la balle. Il assure avoir tout appris non d'un écuyer mais d'un comédien. Louis Jouvet.
Chercheur passionné, il a transmis son savoir dans une dizaine de livres, autant de DVD et des centaines de stages. Tous les cavaliers de CSO ont en eux quelque chose de Jean d'Orgeix !
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