"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'Ordre de Malte a fait l'objet de multiples travaux historiques, mais l'auteur traite ici d'un aspect moins connu. C'est celui des activités maritimes corsaires, non seulement de membres de l'Ordre, mais aussi des Maltais, ou même des étrangers, les exerçant sous son autorisation.
Leurs actions régulières et en course, sous le pavillon rouge à croix blanche, furent si multiples et si couronnées de succès que les musulmans surnommèrent ces marins Les Scorpions de la mer.
En effet, en dehors des campagnes officielles, qu'elles soient systématiques comme lors des « caravanes », ou en expédition militaire ponctuelle comme l'attaque d'Alger, toute une flottille de bâtiments très divers, de la galère à la barcasse, se livrait, sous armement privé, à la course. Ces expéditions, connues sous le nom de « corsaires », étaient destinées à engranger des profits, officiellement destinés à soutenir le premier type d'opération.
Mais ces chasses relevaient de processus plus compliqués qu'à première vue, et leurs buts étaient-ils si clairs ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !