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Ils sont globalement de plus en plus puissants. Et, trop souvent, prescrits à des doses de plus en plus massives par les médecins adeptes du « tout chimique ». Mais ils se montrent aussi de moins en moins efficaces. Et leur surconsommation annonce un problème de santé majeur à l'échelle française, européenne et mondiale. « Ils » ? Ce sont les antibiotiques chimiques qui, on ne le sait que trop rarement, peuvent la plupart du temps être avantageusement remplacés par des antibiotiques naturels ne présentant pas tous les risques de leurs « cousins » commercialisés en masse par l'industrie pharmaceutique.
Depuis plusieurs années, la consommation - et même la surconsommation abusive - d'antibiotiques chimiques explose partout dans le monde. Au point que tous les experts crient à la catastrophe sanitaire, la résistance aux antibiotiques, due à la surconsommation, pouvant causer jusqu'à dix millions de décès à l'horizon 2050, notamment en Europe. La situation n'est guère plus réjouissante en France qui fait figure de très mauvais élève dans ce domaine-là aussi.
Alors que, dans l'Hexagone, la consommation d'antibiotiques chimiques avait marqué le pas jusqu'en 2010, elle est repartie à la hausse, avec un volume global de 786 tonnes annuelles, soit une consommation moyenne de 4,55 boîtes par seconde. La faute en incombe essentiellement aux médecins classiques en milieu urbain qui sont - même pour des affections parmi les plus anodines - les « champions » de la prescription d'antibiotiques chimiques. Ils en prescrivent de plus en plus, à des doses de plus en plus élevées, provoquant par le fait même une résistance à ces mêmes antibiotiques. Et allant, de facto, à l'encontre de la santé de leurs patients.
Il n'est bien entendu pas question de se passer des antibiotiques. Mais plutôt de limiter drastiquement la consommation de médicaments chimiques pour renouer avec des antibiotiques naturels qui ont depuis longtemps fait la double preuve de leur efficacité et de leur innocuité. Cerise sur le gâteau : tout en se montrant au moins aussi efficaces que leurs pendants chimiques, ils sont bien souvent nettement moins chers que ces derniers. Et, en tout cas, ils sont de plus en plus prisés par les consommateurs soucieux de préserver sur le long terme leur bien le plus précieux : une bonne santé.
Ces alternatives naturelles s'appellent huiles essentielles, pépins de pamplemousse, propolis... et bien d'autres encore. Elles combattent la plupart des maux quotidiens pour lesquels les antibiotiques chimiques sont trop et trop souvent prescrits. Et, plus que leurs équivalents chimiques, elles méritent de plein droit de figurer en bonne place dans toute pharmacie familiale digne de ce nom.
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