80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Avec un père absent et peu fiable, la jeune Kyung-A, son frère, sa soeur et sa mère ne peuvent compter que sur eux-mêmes. De déménagements en nouvelles rencontres, d'emplois précaires en drames adolescents, la jeune fille nous donne à voir une famille où chacun apprend à se débrouiller seul, fort de savoir qu'il pourra retourner auprès des siens à tout moment. Mais le temps passant, les enfants se font happer par leur destinée individuelle et par la grande Histoire (l'occupation japonaise et la guerre de Corée), et désertent ce foyer familial si fragile, jusqu'au jour où il menace de disparaître.
Mia Yun se révèle à la fois poète, peintre et conteuse, par son sens du mot juste, son art de l'image et sa propension au mélodrame. Au milieu d'un flot de métaphores enchanteresses émergent des personnages finement étudiés, à travers lesquels l'auteur nous montre avec adresse toute l'absurdité de la vie.
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