Rendez-vous le mercredi 16 octobre à 19h sur le site « Un endroit où aller »
La peinture « classique » persane a perdu ses caractéristiques en se rapprochant de la peinture occidentale; puis à l'époque Qajar une nouvelle peinture est née tandis que, simultanément, une évolution apparaissait dans son enseignement. La peinture « réaliste », comme manifestation de « l'art majeur », s'est installée à la Faculté des Beaux-Arts en 1940. A la même période, la miniature, c'est- à- dire « l'art mineur », était encouragée afin de représenter la splendeur ancienne. Par la suite, la peinture s'est orientée avec plus d'intensité vers l'art « Moderne » occidental et en même temps vers l'art et les effets visuels traditionnels d'Iran. A cette époque les peintres d'Iran étaient divisés en deux groupes: les partisans des styles occidentaux et les néo-traditionalistes. Parallèlement, les miniaturistes en tant que peintres « traditionnels », pour continuer à exister, utilisaient exclusivement les paramètres de l'art réaliste. En revanche, les diplômés de l'Université, artistes « modernes », utilisaient les éléments de l'art de la miniature quand ils voulaient exprimer l'identité.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Rendez-vous le mercredi 16 octobre à 19h sur le site « Un endroit où aller »
En 2024, ces auteurs et autrices nous émerveillent plus que jamais !
Des livres documentaires passionnants et ludiques pour les 7 à 11 ans
Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée