Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

L'enseignement universitaire de la peinture en Iran

Couverture du livre « L'enseignement universitaire de la peinture en Iran » de Bahram Ahmadi aux éditions Presses Academiques Francophones
Résumé:

La peinture « classique » persane a perdu ses caractéristiques en se rapprochant de la peinture occidentale; puis à l'époque Qajar une nouvelle peinture est née tandis que, simultanément, une évolution apparaissait dans son enseignement. La peinture « réaliste », comme manifestation de « l'art... Voir plus

La peinture « classique » persane a perdu ses caractéristiques en se rapprochant de la peinture occidentale; puis à l'époque Qajar une nouvelle peinture est née tandis que, simultanément, une évolution apparaissait dans son enseignement. La peinture « réaliste », comme manifestation de « l'art majeur », s'est installée à la Faculté des Beaux-Arts en 1940. A la même période, la miniature, c'est- à- dire « l'art mineur », était encouragée afin de représenter la splendeur ancienne. Par la suite, la peinture s'est orientée avec plus d'intensité vers l'art « Moderne » occidental et en même temps vers l'art et les effets visuels traditionnels d'Iran. A cette époque les peintres d'Iran étaient divisés en deux groupes: les partisans des styles occidentaux et les néo-traditionalistes. Parallèlement, les miniaturistes en tant que peintres « traditionnels », pour continuer à exister, utilisaient exclusivement les paramètres de l'art réaliste. En revanche, les diplômés de l'Université, artistes « modernes », utilisaient les éléments de l'art de la miniature quand ils voulaient exprimer l'identité.

Donner votre avis

Donnez votre avis sur ce livre

Pour donner votre avis vous devez vous identifier, ou vous inscrire si vous n'avez pas encore de compte.