"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'île de la Réunion entre les deux guerres...
A l'époque, l'obligation légale d'école n'est pas strictement appliquée, et, par temps de misère, les enfants représentent une force de travail indéniable. Comment l'école primaire publique a-t-elle élargi ses assises sociales durant cette période ? Que signifiait, alors, le " métier d'écolier " ? Comment apprenait-on le français ? Quel gain d'instruction les uns et les autres ont-ils retiré de leur scolarisation ? En quoi " l'école-longtemps " a-t-elle préparé la modernité de l'île ? Fut-elle une école de la Colonie ou de la IIIe République ? Des réponses émergent peu à peu du vécu ordinaire des salles de classe, tel que le racontent d'anciens écoliers et écolières alors que " entre hier et aujourd'hui, mais c'est le jour et la nuit ! " L'école-longtemps, revue par les yeux de l'enfance, incite à réfléchir sur les transformations de la vie de l'île depuis 1946 et pose une question fondamentale : à quoi sert l'école ?
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