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Lorsque le Tour fait étape à Nantes, en terre bretonne, pour sa première édition en 1903, le cyclisme a déjà conquis la Bretagne.
Depuis 1869, de nombreuses courses y ont été organisées et des sociétés vélocipédiques ont été créées dans la plupart des grandes villes. La grande classique Paris-Brest-Paris, les vélodromes construits à Brest, Quimper, Rennes, Nantes, Vannes, Auray viendront confirmer que la Bretagne fut très tôt acquise au vélo. Le Tour de France, à sa naissance allait bénéficier de cette situation. Un nom viendra très vite symboliser cette relation privilégiée entre le cyclisme et la Bretagne : "Petit Breton", sobriquet du Nantais Lucien Mazan, qui dominera le cyclisme jusqu'à la Première Guerre mondiale.
Après la Seconde Guerre mondiale viendra le temps des Le Drogo, Le Grevès, et Goasmat qui s'illustreront dans les étapes de la Grande Boucle, particulièrement dans les étapes bretonnes, le Tour ayant désormais pris l'habitude de traverser la Bretagne. Puis viendra l'âge d'or, le temps de Robic en 47, de Bobet dans les années 50, puis de Hinault, qui marqueront à jamais le Tour de France par leurs victoires...
Et viendront confirmer que le cyclisme avait raison de faire confiance à la Bretagne.
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