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Le souci de tous mes frères ; correspondance de Pierre le Vénérable avec ses frères moines et l'abbesse Eloïse ; les statuts de Cluny (1122-1146)

Couverture du livre « Le souci de tous mes frères ; correspondance de Pierre le Vénérable avec ses frères moines et l'abbesse Eloïse ; les statuts de Cluny (1122-1146) » de Christophe Vuillaume aux éditions Saint-leger
Résumé:

Après avoir présenté, dans un premier tome intitulé « L'amitié à l'é-preuve de la diversité, corres-pondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux » la cor-respondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux, le Père Vuillaume osb offre ici au lecteur un deuxième recueil de... Voir plus

Après avoir présenté, dans un premier tome intitulé « L'amitié à l'é-preuve de la diversité, corres-pondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux » la cor-respondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux, le Père Vuillaume osb offre ici au lecteur un deuxième recueil de lettres du célèbre Abbé de Cluny. Si leurs destinataires en sont nettement moins connus, elles n'en présentent pas moins un intérêt de premier plan pour mieux connaître la personnalité, à bien des titres remarquable, de Pierre le Vénérable et compléter ce que l'on sait déjà du milieu monastique et ecclésial du 12e siècle dans lequel il a vécu, puisqu'il s'agit de sa correspondance avec les moines et moniales de son temps : bénédictins et cisterciens, mais aussi chartreux, sans oublier la célèbre abbesse Héloïse. Ces lettres regroupées en huit sections correspondent à chaque fois à un groupe homogène de correspondants ou à un destinataire particulier.
Au-delà de l'aspect historique, les moines et les moniales y sentiront vibrer un coeur, méditer un esprit, s'exprimer une langue et une main qui, en fin de compte, ne sont pas si étrangers ou éloignés de ce qu'ils peuvent vivre, en profondeur, en ce début de XXIe siècle. Pour apprécier les auteurs anciens, il faut en effet savoir se laisser dépayser, comme on le ferait en visitant un autre pays, où l'on retrouve cependant la même humanité, appelée à la même destinée.

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