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On l'a appelé « l'homme-plume » lors de sa première exposition de dessins, en 1924. C'est le poète Georges Limbour qui l'avait ainsi baptisé en souvenir de Paolo di Dono, surnommé « l'oiseau », et aussi à cause des beaux oiseaux qui peuplaient certaines de ses oeuvres.
L'homme-plume s'est envolé en 1987, à l'âge de 93 ans. Ce fut l'un des artistes les plus cultivés de sa génération. Fin connaisseur de poésie, de musique et d'art, intarrissable sur l'art des grands maîtres du passé, il portait un regard curieux et amical sur d'innombrables sujets et sa conversation, où perçaient la générosité et la bonté, était des plus enrichaissantes.
À lire cette anthologie, on mesurera l'étendue du savoir d'André Masson. On en retiendra surtout les tensions : en deçà comme au-delà du surréalisme, l'artiste se cherche à travers l'histoire d'une culture. Son parcours se situe dans les contradictions mêmes de l'humanisme contemporain et atteste de son statut d'artiste.
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