"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'intérêt du prince envers les arts prend en Europe, notamment France et en Italie, une ampleur toute particulière à partir du XIVe siècle et ce jusqu'au XVIIIe siècle.
L'art - les palais et leurs ornements, les monuments publics et privés - devient un outil politique en vue d'assurer la renommée et la puissance du prince. Cet ouvrage, fruit d'une journée d'études, présente la démarche des historiens de l'art face à une question qui nous introduit autant dans les mécanismes de la création artistique que dans l'histoire sociale et propose un éventail d'approches possibles.
Il s'agit d'interroger à la fois les princes (mécènes et collectionneurs), les oeuvres (objets esthétiques, symboliques, de propagande) et les relations existant entre les deux (ainsi les institutions académiques). Il s'agit aussi de dépasser la hiérarchisation établie dans les arts, pour considérer les objets de la création artistique comme étant tous l'expression de phénomènes historiques complexes.
Au centre de la réflexion, un enjeu : le pouvoir souverain. Au centre des interrogations, la ' manière dont les logiques discursive, allégorique, narrative et topographique se combinent avec cet enjeu.
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