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Un roman assez simple mais qui se lit bien notamment par la plume de l'auteur qui pourrait être décrite du même adjectif que précédement qualifié pour son roman : simple. Mais la simplicité n'est pas un mauvais point et au contraire, peut nous donner envie quand bien même il y a des clichés, à continuer et à se dire de poursuivre la lecture. Il se lit très vite et honnêtement, l'histoire n'est pas transcendante et on ne se souvient pas forcément de toutes les scènes une fois la dernière page tournée.
J'ai néanmoins aimé la personnage principale et surtout son évolution d'une fille qui ne croit plus en la vie et qui attend seulement que la mort vienne lui chercher à une personne pleine d'espoir.
Ayant adoré les différents romans de Nine Gorman disponibles sur Wattpad (Ashes falling for the sky co-écrit avec Mathieu Guibé et La nuit où les étoiles se sont éteintes co-écrit avec Marie Alhinho), je me suis lancée dans le premier roman de l'autrice, malgré que le résumé me tentait moins que les autres.
On entre dans le quotidien de Emma, atteinte d'une maladie neurodégénérative qui va la condamner à mourir douloureusement et prématurément. Elle décide ainsi de s'éloigner de sa vie d'avant pour essayer de mettre de la distance entre elle et la maladie, et quand un mince espoir, bien que radical, se montre à elle, elle n'hésite que peu dans sa décision.
On suit le roman sous le point de vue de ce personnage, découvrant sa vie où la maladie peut refaire surface à tout moment, alors qu'elle essaie de la dissimuler aux nouvelles personnes faisant partie de sa nouvelle vie. J'ai éprouvé de l'empathie pour Emma, qui essaie de se construire malgré la maladie, tout en se demandant si cela vaut la peine de prendre des initiatives quand elle sait que tout ce qu'elle construit prendra rapidement fin de fait de sa condition. On ressent la pression qu'elle se met face à sa famille, de la peur qu'elle a de les inquiéter du fait de sa situation, alors que pourtant ses proches cherchent seulement à être là pour elle et ce malgré les coups durs. De même, j'ai été touchée par sa détermination à cacher cette condition, comprenant ses motivations à le faire. Néanmoins, il est vrai qu'elle était parfois extrêmement passive, du fait de sa maladie, ne prenant pas toujours sa vie en main pour en profiter, et cela pouvait parfois être pénible. Cela donnait l'envie de la secouer, et c'est justement ce que font les autres personnages du roman.
En effet, tous, peu importe leur personnalité et à leur manière, poussent le personnage d'Emma à tenter de nouvelles choses, à aller de l'avant afin de réaliser ses rêves. Dans cette fresque de personnages, on a ainsi Andrew, qui changeait du tout au tout : il se révélait parfois sympathique avec la protagoniste, comme il pouvait parfois se montrer méprisant et distant. Néanmoins, on en sait finalement peu sur lui, et on devrait ainsi en savoir plus dans le second tome qui se déroule sous son point de vue et nous permettra ainsi de mieux comprendre son comportement. A l'inverse, on a son frère Matthew qui est adorable avec Emma, mais également Nathan, le personnage plein de bonne humeur qui est la touche d'humour du roman, mais qui se révèle aussi être un ami précieux pour Emma, compréhensif et toujours là pour elle.
On a dans le roman, contrairement aux autres de Nine Gorman une part de fantastique puisque certains des personnages sont des vampires plus ou moins attirés par le sang. Il est vrai que ce point n'est pas celui qui m'a le plus entraîné dans ma lecture, n'étant pas spécialement une adepte de ces créatures fantastiques, mais qui devrait plaire à ceux qui apprécient les rencontrer durant leur lecture.
Concernant l'histoire même, elle tourne essentiellement sur la relation entre Emma et Andrew, sur le fait qu'ils se tournent autour malgré leur condition propre à chacun. Je trouve que ce qui apporte le plus à cette histoire est justement la maladie et la traitement qui est fait autour, que j'ai trouvé très intéressants. Je pense pas que j'aurais autant apprécié sans cela. Mais en plus de cela, c'est aussi une histoire d'amour familial et d'amitié comme on peut le voir avec certains des personnages, montrant qu'il y a des gens qui sont là pour nous, peu importe notre condition, peu importe qui l'on est et ce que l'on fait.
Pour ce qui est de la fin, elle est assez intrigante mais ne m'a pas mise dans un état où j'ai absolument envie de découvrir la suite. La révélation finale m'a personnellement pas plus étonnée que cela, pas dans le sens où je m'y étais attendue, mais plutôt parce que je m'étais pas assez attachée à certains des personnages.
Pour conclure, j'ai apprécié faire cette lecture, néanmoins je n'ai pas été transportée comme cela a été le cas avec les autres romans de Nine Gorman que j'ai adoré (même si je n'ai pas encore eu l'occasion de finir le roman La nuit où les étoiles se sont éteintes, les chapitres n'étant pas tous publiés sur Wattpad). Je lirais certainement la suite, car j'aime beaucoup ce que fait l'autrice, mais ce ne sera pas avec une impatience insoutenable.
Note de 3,5/5 sur le blog
J'ai commencé ce roman en pensant que c'était ma BA jeunesse... et pas du tout ! J'ai trouvé le récit très addictif, on avance dans l'histoire avec l'envie d'en savoir toujours plus, l'envie de savoir comment l’héroïne va surmonter ses épreuves, comment son binôme psychique va évoluer et surtout l'envie de répondre à toutes les questions qui s'amoncellent de page en page. Cela dit, c'est une romance tout ce qu'il y a de plus classique, avec le scénario qui me rend folle de rage, à savoir le triangle (disons plutôt carré) amoureux. Heureusement, le style est dynamique, pêchu, plein de rythme et un peu sarcastique !
Il y a un gros MAIS, ma morale, mon sens critique et ma conscience s'en mêle et je dois dire que je trouve inconcevable l'impunité qu'il y a autour des agissements d'un des personnages.
Je n'oublie pas qu'il s'agit d'un premier tome, que la situation ne fait que s'installer, que tout peut encore être renversé, que la personnalité de certains personnages sera peut-être étoffée... en attendant la sortie du tome 2, je réserve donc mon avis.
Comme toujours, j’ai du mal avec les bouquins dont on vante les milliers/millions de lecteurs sur Wattpad. Mais voir que l’auteure est une blogueuse/youtubeuse m’a rassuré. OU PAS !
Je m’autorise un mini-spoiler parce que j’en ai besoin pour la chronique : Andrew est un vampire ! Mais pas n’importe quel vampire, il est beau, ténébreux, hermétique aux émotions et petit bonus : il est riche ! Et là, les alertes aux clichés ont toutes sonnées dans ma tête. Malheureusement la fête des clichés ne s’arrête pas là et le triangle amoureux débarque comme un invité imprévu. Aïe, ça commence mal. Pour autant, je ne me suis pas dégonflée et j’ai tout lu comme une grande.
J’avais vu que le bouquin est classé en romance fantastique, du coup, en tant qu’amatrice de fantastique, je m’attendais à un univers fantastique poussé, travaillé. Mais rien de tout ça en vue, on reste bloqué au même constat que celui du début : Andrew est un vampire, un buveur de sang, affublé de quelques pouvoirs pratiques comme n’importe quel vampire dans les autres bouquins. J’ai été tellement gênée par l’absence de curiosité de la part d’Emma, oui elle est préoccupée par sa maladie mais ALLO ! Elle découvre l’existence des vampires et ne cherche pas à en savoir plus ! Elle passe de la peur du vampire à l’indifférence de son statut…
Du coup, peut-on parler d’une réinvention du mythe du vampire ? Oui et non. C’est vrai qu’Andrew est un vampire ultra-moderne, mais… où est la nouveauté ? Andrew est seulement un vampire lambda sans rien d’intéressant en plus !
Par contre, j’ai été très intéressée par la maladie d’Emma, tellement que je n’avais même pas capté que c’est une maladie qui n’existe pas ! Enfin si, mais pas sous le même nom, la vraie s’appelle Huntington (Pourquoi ne pas avoir utilisé ce nom?) et s’avère aussi triste et terrible qu’elle l’est dans le livre. J’ai éprouvé beaucoup de pitié pour Emma et c’est sûrement l’une des seules émotions que ce bouquin a réussi à me faire ressentir.
Tout comme Andrew, je suis restée totalement hermétique à ce que Nine Gorman a cherché à nous faire ressentir. Notamment la romance qui m’est quand même restée en travers de la gorge et qui pour une fois ne m’a pas du tout donné envie de me retrouver dans la peau d’Emma. Emma ferait quasiment tout pour devenir un vampire et donc guérir de sa maladie, et ça j’ai eu du mal, surtout quand elle hésite à coucher avec Andrew pour obtenir sa transformation.
En bref, j’ai trouvé le livre bien écrit. Mais le livre est moyen comparé à toute les louanges écrites en ce moment, j’en attendais plus d’originalité.
Je ne connaissais pas Nine au départ. Je l’ai découverte sur une vidéo youtube de Bulledop pas longtemps avant la sortie de son livre. Déjà, tout le monde en parlait, j’étais donc intriguée par ce livre écrit par une booktubeuse reconnue.
Avant de commencer le livre, je ne savais absolument pas de quoi ça allait parler. Et j’avoue avoir été (agréablement?) surprise en comprenant que ce bouquin parlait de vampire. Parce qu’il est vrai que ni le résumé, ni la couverture (ni même le titre) n’a suggéré cela.
D’ailleurs, j’ai trouvé cette couverture très jolie, avec ce travail de double exposition. On comprend tout de suite qu’il s’agit d’une fille qui vit à New York. (Bravo à Albin Michel, j’adore)
Le synopsis est un peu cliché, mais j’avoue les aimer parfois. Cela ne m’a donc pas vraiment gêné dans ce roman.
Au début, j’ai eu peur parce que ça m’a légèrement fait penser à « The Vampire Diaries », dû à la petite similarité qu’ont Andrew et Matthew avec les frères Salvatore. Mais au fil de ma lecture, je me suis rendue compte qu’ils étaient assez différents de ces derniers. J’ai également vu une petite ressemblance avec « 50 Nuances de Grey », mais juste au début.
Je n’ai pas spécialement aimé Emma. Malgré l’empathie que j’éprouve face à sa maladie, elle a parfois eu le don de m’agacer, par ses décisions et sa façon d’être avec les gens. Surement parce que je n’aurait probablement pas les choses de la même façon qu’elle…
En commençant le roman, je pensais qu’Andrew allait faire battre mon coeur, mais il ne m’a pas charmé plus que ça. Emma, je te le laisse avec plaisir (et Matthew aussi). Parce que oui, il y a un petit triangle amoureux, mais qui ne dure pas. Et puis, on devine assez vite qui elle choisi, y a pas photo.
Le seul personnage que j’ai vraiment apprécié est Nathan, qui est un personnage secondaire. Il est tout simplement génial, un ami en OR qui est toujours présent en cas de problème! Il est gentil, adorable et a toujours le mot pour rire. (Je peux le garder pour moi?)
La suite de l’histoire est plutôt bien, mais dans les 100 (?) dernière pages, Nine nous fait vivre un raz de marée d’émotions. J’ai assez aimé le fait que la maladie d’Emma ai un nom (maladie qui a été inventé par l’auteur, je tiens à préciser). Même si je ne l’aime pas du tout cette Becky!
La fin… je ne l’ai pas vraiment vu venir. Enfin, si, mais seulement quelques pages avant. Cependant, ça ne m’a pas étonné plus que ça. Je m’attendais à quelque chose de plus ouf…
L’écriture est fluide et l’histoire est assez addictive. C’était une lecture simple et sympathique. Ça fait du bien, parfois, et j’en avais absolument besoin en ce moment.
J’ai passé un très bon moment avec ce premier roman, que j’ai dévoré en deux jours. Beaucoup de clichés se retrouvent dans ce livre, mais c’est entre autres pourquoi je l’ai particulièrement apprécié : j’avais besoin d’une lecture à la fois palpitante et détendante pendant les fêtes et c’est exactement ce que j’ai trouvé ici. Une histoire romantique bien écrite, mêlant des univers que j’aime. Pour un prochain roman, j’espère juste que Nine parviendra à se détacher un peu plus des canons littéraires qu’elle chérit pour nous proposer du 100% elle, car j’ai vraiment beaucoup aimé sa plume !
En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2018/02/13/le-pacte-demma/
Me voilà de retour (non pas pour vous jouer un mauvais tour), avec la chronique de ma première lecture de cette année 2018. C'est pas trop tôt, oui je sais, mais avec les examens et tout le tintouin, c'était un peu tendu... Me voici donc avec « Le pacte d'Emma » de Nine Gorman !
De quoi parle t-on ? D'Emma et de Becky, sa maladie, qui lui pourri la vie et va finir par lui emporter. Alors elle va changer d'air avec son frère, et va se rendre à New York, afin de passer le temps sans trop y penser. C'est pour cela que, poussée par son amie Rebecca, elle va postuler pour le poste d'assistante chez Anderson corporation. C'était sans compter sur la rencontre avec son patron, Andrew, qui pourrait peut-être la sauver... mais à quel prix ?
Vous avez du en voir et revoir des chroniques sur ce roman. Promis, je ne vais pas en faire des caisses du coup ! Puisque comme la majorité des personnes, j'ai beaucoup apprécié ma lecture.
Tout d'abord, c'est un roman qui se lit très vite. Arrivé à la fin, on ne croirait pas que l'on vient de se taper pratiquement 400 pages ! Un véritable page turner, comme on dit par ici. Tout se passe rapidement, pas de temps pour les détails futiles, et c'est assez appréciable à vrai dire ! Marre de ces romans qui tirent en longueur pour pas grand chose. Au moins, ici, on va droit au but !
L'histoire en elle-même n'est pas non plus transcendante. Mais elle sait se faire apprécier ! Du moins, moi, j'ai aimé. Cette histoire de maladie (qui me suit décidément dans toutes mes lectures en ce moment) et de vampires m'a emballée. La seule petite chose qui m'a fait un peu tiquer, mais je pense que c'est simplement moi et mon cerveau, c'est l'aspect « cinquante nuances de grey », attendez, je m'explique. Ce grand PDG, qui a beaucoup d'argent, une tour en diamant, bureau au dernier étage, un appartement luxueux, une bonne, un chauffeur... vous avez compris le topo. Mais heureusement, cela ne revient pratiquement jamais, et au final cela ne se voit pas trop !
Côté personnage, j'ai beaucoup aimé Emma, bien évidemment ! Son caractère, son histoire, m'ont touchés. Sa façon de répondre et ses manières m'ont parfois beaucoup fait rire. Difficile de ne pas s'identifier à elle. Andrew est Andrew ; un homme inaccessible, sans sentiments, le parfait bad boy en somme. Même si j'ai eu moi aussi un faible pour lui et son âme torturé, que Matthew m'a aussi émue (qui ne craquerait pas un temps soit peu pour un homme comme lui ?), j'ai préféré Nathan ! Personnellement, c'est sur lui que j'aurais jeté mon dévolu, ahah !
Comme toutes les chroniques de la blogosphère sur ce roman, comment ne pas aborder le sujet de la fin de l'histoire. Parce que... pourquoi ? Tant de rebondissements, tant de retournements de situation, tant de révélations auxquelles on ne s'attend pas ! Pourquoi faire des choses aussi atroces ? Et cette dernière phrase... pitié. Quand sort le tome 2 déjà ?
Je ne vais pas m'éterniser plus longtemps sur ce roman, car vous l'aurez compris, ce n'est pas un coup de coeur, mais j'ai énormément savouré ma lecture ! Je ne peux que vous le recommander.
Lien de ma chronique : https://solivresse.blogspot.fr/2018/02/le-pacte-demma-nine-gorman.html#more
Je me suis lancé dans ce livre sans trop d’attente, et ce fut une jolie lecture avec quelques petits défauts. L’histoire n’est pas totalement originale, on retrouve beaucoup de références mais ce n’est pas secret et l’auteure l’a clairement annoncé donc ce n’est pas un problème. Ce premier tome lance tout de même une saga qui s’annonce assez originale, de par la maladie du personnag principale, à voir le second tome !
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