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Trop longtemps rangée en "bonne dame de Nohant' au milieu de ses marionnettes et de ses confitures, George Sand méritait d'être redécouverte à la juste mesure de ses multiples talents d'ensorcelante femme de lettres et de passions.
Trop longtemps rangée en "bonne dame de Nohant' au milieu de ses marionnettes et de ses confitures, George Sand méritait d'être redécouverte à la juste mesure de ses multiples talents d'ensorcelante femme de lettres et de passions.
Le portrait photographique permet de revivre ici l'effervescence de tout un monde politique, artistique et littéraire, du Second Empire au début de la IIIe République, qui défile dans l'atelier de Nadar ou celui d'autres grands noms de la photographie : Bisson, Le Gray, Mayer et Pierson, Carjat, Petit, Disderi.
Sand elle-même s'est prêtée très tôt aux nouvelles techniques du portrait: dès 1852, elle se fait " daguerréotyper ", mais sa déception est telle qu'elle attendra douze ans pour renouveler l'expérience, et cette fois devant la chambre noire du grand Nadar.
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