"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Pour faire comprendre l'infinité des formes de l'univers matériel, Paul Couteau a eu recours à un artifice particulièrement heureux : si l'on descend vers l'infiniment petit ou si l'on monte vers l'infiniment grand, on change d'échelle, on se tient alors sur les marches d'un grand escalier qui se perd à l'infini. Chaque marche correspond à un ordre de grandeur. Paul Couteau parcourt ce Grand Escalier avec une belle vigueur, et s'arrête sur chaque marche pour en expliquer les singularités, et en faire admirer les perspectives vertigineuses. Le lecteur profane découvre avec plaisir, mais avec rigueur aussi, les moeurs étranges des particules, comme il survolera le monde des planètes, des étoiles, des galaxies, des astres cosmiques, pour évoquer finalement le début des Temps. Un propos rigoureux et savant, une construction méthodique accompagnent un style d'une grande clarté, qui ne dédaigne pas des exemples de la vie quotidienne ou le recours à une imagination proche de la science-fiction et du cinéma.
De l'infiniment petit à l'infiniment grand. Un voyage extraordinaire dans notre univers avec une méthode originale.
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