"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Juin 1940. Les Allemands prennent possession de Paris, réquisitionnent les hôtels, investissent les terrasses. Qui sont ces occupants qui répriment, raflent, déportent ? Et qui se flattent de littérature, de peinture, d'opéra ? Pourquoi échapperont-ils au jugement de l'histoire ? La vérité sur un grand trucage intellectuel.
1940, l'Allemagne nazie occupe Paris. Huit décennies plus tard, la fable perdure. La Wehrmacht ne s'occupait pas des basses besognes. Tous les officiers n'étaient pas nazis.
Certains étaient des opposants passifs. Quelques-uns des amoureux et des protecteurs de la capitale. Autant d'idées reçues qui ont la vie dure. Autant de contre-vérités qui sont ici infirmées.
Pierre Abou fait parler des archives inédites et dévoile la face cachée d'un mythe pseudo-intellectuel. C'est la lourde machine du Gross-Paris qui est ici décryptée. Les responsabilités dans le crime d'esthètes présumés tels Werner Best, Hans Speidel ou Ernst Jünger qui sont ici révélées.
Un récit captivant. Un ouvrage iconoclaste. La vérité sur la barbarie.
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