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Gainsborough, Reynolds, Turner... ces artistes ont fait l'âge d'or de la peinture anglaise, qu'on peut placer sous l'ère Georgienne, soit des années 1720 environ jusqu'au début du règne de la reine Victoria au milieu du XIXe siècle.
Au début de son règne, en 1768, George III lance la fondation de la Royal Academy of Arts, avec pour mission de promouvoir les arts de Grande- Bretagne à travers l'éducation et les exposition.
Soutenus par le roi, les peintres britanniques s'épanouissent alors dans une diversité de styles, illustrant notamment la famille, la nature, la vie quotidienne, la vie rurale et la présence de la Grande-Bretagne en Inde. Cette floraison de styles et de sujets fut perçue dans le monde entier comme le signe d'un âge d'or artistique, une renaissance dans ce pays qui s'affranchissait des règles et des conventions Reconnus comme les maîtres du portrait, Joshua Reynolds et Thomas Gainsborough rivalisèrent pour élever le genre à des niveaux d'innovation visuelle et intellectuelle inédits. Le roi George III choisit Reynolds pour être le premier Président de la Royal Academy. Celui-ci définit la peinture d'histoire comme le genre le plus important de la peinture britannique, selon lui le seul permettant à un artiste de s'accomplir pleinement.
Cet ouvrage offre de parcourir cette histoire, qui est celle des plus belles oeuvres anglaises de la seconde moitié du XVIIIe siècle, jusqu'au développement de la figuration narrative, avec les travaux d'Henry Fuseli, de John Martin, de P.J. De Loutherbourg et de J.M.W. Turner qui, à la suite de cet âge d'or, se lancèrent dans la représentation de l'imaginaire.
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