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Un quart de siècle après la mort d'Hilaire, qui a dirigé l'Eglise d'Arles de 429 à 449, un de ses disciples entreprend d'écrire sa vie.
Honorat, qui est peut-être déjà à cette époque placé sur le siège de Marseille, fournit ainsi un document du plus grand intérêt sur l'évangélisation de la Provence au Ve siècle. A cette époque, le christianisme est encore largement missionnaire en cette région, et Hilaire offre la figure attachante d'un pasteur débordant d'initiatives. En même temps, signes d'une croissance nécessairement complexe, des tensions apparaissent : conflits entre les responsables ecclésiastiques et les tenants du pouvoir civil ; conflits plus secrets entre évêques de la mouvance de Lérins (Hilaire est de ceux-ci) et les évêques compromis avec le siècle, sans oublier la papauté qui, notamment en la personne de Léon le Grand, n'oublie aucune occasion d'affirmer son autorité.
Hilaire semble n'avoir cherché à rien atténuer. De là le caractère dramatique qui marque ces pages. Des personnalités bien trempées s'affrontent, finalement, pour le meilleur. Il n'y a pas à s'y tromper. Cette oeuvre, écrite avec soin et même avec recherche, est plus qu'un simple récit. Honorat, avec prudence, mais usant de tout son art, défend la mémoire d'un maître qui a été contesté.
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