La vérité sur le climat et ses changements

• Date de parution : 08/09/2011
• Editeur : Favre
• EAN : 9782828911584
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : 267
• Collection : (-)
• Genre : (-)
• Thème : Sciences de la vie et de la terre, Botanique, Ecologie
• Prix littéraire(s) : (-)

La climatologie se distingue de la météorologie et en général des sciences en ce qu'elle porte à la fois le message d'une catastrophe planétaire et les solutions pour l'éviter. C'est au fond un immense projet d'ingénierie, dont le but n'est autre que de sauver la planète. Pas étonnant qu'elle se... Voir plus

La climatologie se distingue de la météorologie et en général des sciences en ce qu'elle porte à la fois le message d'une catastrophe planétaire et les solutions pour l'éviter. C'est au fond un immense projet d'ingénierie, dont le but n'est autre que de sauver la planète. Pas étonnant qu'elle se soit laissé emporter par des amalgames mêlant culpabilité et responsabilité. Cet ouvrage n'a pas l'ambition de décortiquer le mythe d'une catastrophe climatique d'origine humaine mais en analyse deux aspects clé : « l'effet de serre » et les plans de sauvetage planétaire destinés à le contrer. Il présente d'abord les éléments de base qui permettent d'aborder ces deux questions puis expose pas à pas les arguments scientifiques qui, ajoutés les uns aux autres, du simple au plus compliqué, finissent par faire douter profondément de la solidité de tout l'édifice. Oui, « l'effet de serre » des climatologues n'a pas d'existence physique bien fondée. Oui, en somme, la climatologie propose à l'humanité de se battre contre un effet fictif à partir de plans de sauvetage qui ne le sont pas moins. On nage en plein paradoxe ! Mais faut-il alors jeter le bébé avec l'eau du bain ? Non, mais revenir sur Terre. Oser dire qu'on ne sait pas, pour réaliser que cette grande peur dans le ciel n'aide pas à aborder lucidement des défis énergétiques et environnementaux que personne ne nie désormais. Ce qu'il faut souhaiter c'est que les scientifiques puissent à nouveau étudier la croissance comme la décroissance, la surrégénération nucléaire comme la sobriété énergétique, calmement, librement et à fond.