"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le nom de La Rose blanche vient d'un poème de Clemens von Brentano. Symbole de pureté et de salut en analogie avec la prière du rosaire, la rose blanche évoque aussi la foule des saints formant une rose dans la divine comédie de Dante. Elle est l'emblème de résistants chrétiens au nazisme dont Henri Peter retrace ici le destin, celui de Sophie et Hans Scholl, d'Alexander Schmorell et de leurs compagnons exécutés pour haute trahison en 1943. Fasciné par leur martyre, il leur donne la parole à partir de documents jamais traduits sur leur foi chrétienne et leur combat anti-totalitaire. Après les tragédies du XXe siècle, d'autres ténèbres obscurcissent le monde contemporain, et leur héroïsme peut inspirer les apôtres d'une culture de vie chaque jour plus bafouée par les nouveaux tenants des idéologies contre-nature, homicides et liberticides.
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