"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Jean Narboni a été l'éditeur de « La Chambre claire ».
S'appuyant sur des documents inédits, il retrace une aventure éditoriale et intellectuelle encore mal connue. L'ouvrage propose également deux lectures du texte, l'une dramatique et l'autre théorique, qui viennent l'éclairer d'un jour neuf. Plus largement, « La nuit sera noire et blanche » étudie et repense la relation changeante, contrariée, complexe que, tout au long de son oeuvre, Roland Barthes a entretenue avec le cinéma. » Pourquoi « La Chambre claire », dernier livre de Roland Barthes, parut-il sous triple pavillon, Gallimard, Cahiers du cinéma et Seuil ? Pourquoi est-il organisé en deux fois 24 sections, d'« un jour » à « un soir » ? Quelle logique guida le choix des illustrations, et pourquoi fallait-il que la première d'entre elles soit, seule, en couleurs ? Quel rôle déclencheur y tient le « Casanova » de Fellini, alors même que Barthes décrète d'emblée aimer la photographie « contre » le cinéma ? Qu'est-ce que l'incident de l'Atrium ? Quel drame se joue dans ces pages, et quelle confrontation secrète avec la pensée d'André Bazin ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !