Ces pages ont été écrites dans un style inimitable et avec une sensibilité exquise. Le préfacier, illustre en son temps, ne s?y est pas trompé.
Il nous a paru opportun de rééditer ces lignes pour permettre de mieux comprendre, vus de Chartreuse, les mystères qui entourent la destinée humaine. L?amour, la maladie, la vie, la mort trouvent ici un dépassement exceptionnel.
Ce témoignage rarissime remontant à la fin du XIXème siècle n?a rien de déprimant, bien au contraire. René de Montozon amène doucement le lecteur à délaisser l?inquiétude pour la confiance.
La mort n?est pas la fin. Vécue en Dieu, elle amplifie l?amour.
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