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Se promener dans la nature, boire son thé nature, être dans la nature des choses... Le mot « nature » est polysémique, insaisissable. Désignant tantôt l'environnement biophysique, tantôt l'essence des choses, et même Dieu chez Spinoza, la nature est un puissant outil de légitimation. Tout le monde s'en réclame. Jusqu'à Mein Kampf, dont l'idéologie raciste ne cesse de se justifier par la nature.
De nos jours, on aime la nature sauvage. On cherche à la protéger. Les sciences, d'ailleurs, ont justement replacé l'être humain dans la nature, parmi les autres vivants. Mais s'interroge-t-on sur la place du naturel en nous ? Poser la question devient vite intellectuellement suspect, moralement illégitime et politiquement dangereux, tant est grand le risque d'« essentialiser ».
Si l'écologie politique prétend parfois fixer une définition consensuelle du terme, la philosophie réinterroge en permanence l'idée de nature, ainsi que les images et les affects qui lui sont associés. C'est ce à quoi s'emploie Patrick Dupouey dans ces pages où il topographie et balise le champ sémantique d'une idée qui, à l'heure des périls pesant sur le climat et la biodiversité, est au coeur du débat public.
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