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Le Dzogchen (la « grande perfection » ou « grande complétude ») est un ensemble d'enseignements et de techniques d'éveil spirituel du bouddhisme tibétain, fondé sur des transmissions à l'origine ésotériques des courants bön, nyingmapa, et Drikung Kagyu, et adopté à titre personnel par de nombreux maîtres d'autres lignées comme les 5e, 13e et 14e dalaï-lama, mais aussi le 3e Karmapa. Cet enseignement, tout comme la mahamudra, prétend se situer au-delà des sutras et des tantras, et donc constituer un véhicule en soi, au-delà des trois véhicules traditionnels, qu'il peut toutefois utiliser comme des moyens auxiliaires. Son principe est l'autolibération spontanée des passions, et non leur transformation comme dans le tantrisme. Il présente par là certaines analogies avec le chan, qui d'ailleurs tenta de s'implanter au Tibet avant d'en être chassé. On pourrait dire que le Dzogchen est une voie directe, située audelà des causes et des effets. La pratique du Dzogchen est donc présentée comme un non-agir, la rapprochant du zen et du taoïsme.
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