Dozulé : ce nom évoque pour beaucoup une série d'apparitions de la Croix Glorieuse et du Christ, entre 1972 et 1978, à une simple mère de famille, Madeleine Aumont. 40 ans plus tard, comment situer ces apparitions dans leur contexte géographique et historique ? Quels enseignements spirituels et théologiques pouvons-nous découvrir lorsque nous étudions les nombres, les dimensions et la géométrie de la Croix Glorieuse, telle que décrite par le Christ à Madeleine ? Que nous révèle une approche exégétique par la science et par les mathématiques ? Quelles interprétations pouvons-nous apporter à certains messages ? Sommes-nous maintenant en mesure d'édifier une grande Croix : les conditions sont-elles réunies ? Et dans quel but ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage apporte des réponses, forcément non exhaustives, mais sous une nouvelle approche. Il offre également un recueil de puissantes prières à la Sainte Croix. Jean-Raphaël Eglin, ingénieur et père de famille, scrute et cherche à comprendre les grâces et les signes prodigués par le Seigneur à notre pays, au cours de son histoire, en particulier à travers les nombreuses apparitions de la Très Sainte Vierge Marie, de l'Archange Saint Michel, des Saints ou du Christ lui-même. Après une formation en théologie et un livre sur La prière d'oraison (Salvator 2011), François Dabezies collecte certains témoignages dans un autre ouvrage (Enquête sur ceux qui voient Jésus, Salvator 2013). Il a aussi publié : Les voies du bonheur en Dieu (Editions des béatitudes, 2015). Il a aidé Véronique Lévy à écrire : Montre-moi ton visage (Cerf, 2015).
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
