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J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu

Couverture du livre « J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu » de Philippe De Villiers aux éditions Fayard
  • Date de parution :
  • Editeur : Fayard
  • EAN : 9782213712284
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

À la fin d'une conversation qui roulait sur la « construction européenne », l'ancien ministre des Affaires étrangères du général De Gaulle, qui savait tout sur tout le monde, laissa tomber d'un air entendu : « Philippe, il vous suffira de tirer sur le fil du Mensonge et tout viendra... » Des... Voir plus

À la fin d'une conversation qui roulait sur la « construction européenne », l'ancien ministre des Affaires étrangères du général De Gaulle, qui savait tout sur tout le monde, laissa tomber d'un air entendu : « Philippe, il vous suffira de tirer sur le fil du Mensonge et tout viendra... » Des décennies plus tard, en y consacrant un temps discret et beaucoup d'ardeur, bénéficiant par ailleurs de complicités au plus haut niveau des arcanes de l'Europe, Philippe de Villiers décide de tirer sur le fil.
Alors tout est venu.
Il a mené ses recherches jusqu'au bout du monde, à Stanford, à Berlin, à Moscou et partout où pouvaient se trouver des documents confidentiels récemment déclassifiés. Et les archives ont parlé. Elles ont livré des secrets dérangeants.
L'envers de l'Europe est apparu. Ce n'est pas du tout ce qu'on nous avait dit.
De ce travail d'enquête, Philippe de Villiers a fait un livre de révélations sur le grand Mensonge. Il a résolu de publier les preuves. Elles sont accablantes. Tout y passe : les Mémoires apocryphes, les dollars, la CIA, les agents, le passé qu'on efface, les allégeances qu'on dissimule, les hautes trahisons.
Le récit est parfois glaçant. Mené au rythme d'une enquête haletante, il se lit comme un polar. On n'en ressort pas indemne. C'est la fin d'un mythe : ils travaillaient pour d'autres et savaient ce qu'ils faisaient, ils voulaient une Europe sans corps, sans tête et sans racines. Elle est sous nos yeux.

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Avis (1)

  • Que penser des « Pères fondateurs » de l’Union Européenne ? Les deux prétendus inspirateurs : Jean Monnet, cet homme d’affaire plus anglo-saxon que français, qui fut l’homme des Américains, lesquels financèrent cette « construction » sous le paravent de la Fondation Ford et de quelques autres…...
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    Que penser des « Pères fondateurs » de l’Union Européenne ? Les deux prétendus inspirateurs : Jean Monnet, cet homme d’affaire plus anglo-saxon que français, qui fut l’homme des Américains, lesquels financèrent cette « construction » sous le paravent de la Fondation Ford et de quelques autres… Robert Schuman, mosellan dont la famille opta pour l’Allemagne en 1870, enrôlé dans les services de la Wehrmacht, ministre sous Pétain, frappé d' « indignité nationale » à la Libération et finalement gracié par de Gaulle. Le premier président de la Commission, Walter Hallstein ancien officier instructeur de la doctrine nazie avant d’être « dé-radicalisé » aux Etats-Unis et recyclé comme un certain nombre d’autres. De drôles de cocos et une idéologie qui remonte donc à la « Grande Europe » d’Hitler et à l’école d'Uriage de Vichy. Les dossiers commençant à être déclassifiés, Villiers et son équipe ont pu faire parler les archives. Bien des vérités dérangeantes comme celle-ci leur apparurent…
    Cet ouvrage est une enquête sérieuse, sas concession et parfaitement documentée. En fin de volume une centaine de pages regroupant les fac-similés de tous les documents en attestent. Depuis le début, on nous a menti. Les preuves sont là, devant nos yeux ! L’Europe puissance n’existe pas. Elle n’a jamais existé et elle n’existera jamais. Par contre, délocalisations, chômage, fiasco économique et immigration de masse sont bien là. Tout comme chez Orwell, la « construction », c’est-à-dire la fabrication artificielle et totalement idéologique, n’est qu’une déconstruction des nations, des familles, des mœurs, des territoires et des civilisations. Organisée, contrôlée et financée par les Etats-Unis (« qui paye l’orchestre choisit la musique ! », dit-on), cette entité totalement artificielle ne leur fait pas contrepoids, mais est une succursale de ceux-ci et leur laboratoire principal pour le mondialisme, la globalisation, l’américanisation sans limite. Le déficit démocratique est tel que ce n’est plus qu’une « prison des peuples ». La propagande, financée par les banquiers qui tiennent tous les médias et par un certain George Soros, est si puissante qu’on peut avoir l’impression que cette nouvelle union soviétique est là encore pour mille ans. En fait, selon Villiers, elle est déjà en soins palliatifs. À quand le Frexit ? Livre passionnant, très bien écrit, qu’un maximum de gens devrait lire pour que les écailles leur tombent des yeux et que les choses changent enfin.

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