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Il portait l'ancre d'or ; colonel Christian Marsaud de Labouygue, de l'infanterie coloniale (1880-1952)

Couverture du livre « Il portait l'ancre d'or ; colonel Christian Marsaud de Labouygue, de l'infanterie coloniale (1880-1952) » de Richard Alain Marsaud De Labouygue aux éditions Va Press
  • Date de parution :
  • Editeur : Va Press
  • EAN : 9782360931149
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

L'aventure était dans le Havresac de ces Marsouins qui parcouraient mers et océans des continents asiatique et africain. L'ardeur d'une jeunesse « instruite pour vaincre » et l'enthousiasme légué par leurs aînés les entraînaient à se surpasser pour continuer l'oeuvre coloniale grandiose, d'un... Voir plus

L'aventure était dans le Havresac de ces Marsouins qui parcouraient mers et océans des continents asiatique et africain. L'ardeur d'une jeunesse « instruite pour vaincre » et l'enthousiasme légué par leurs aînés les entraînaient à se surpasser pour continuer l'oeuvre coloniale grandiose, d'un Empire qui ne voyait pas se coucher le soleil. Christian Marsaud, comme ses camarades, a vécu grandement les événements qui se sont déroulés en Cochinchine, au Niger, avant de regagner la France métropolitaine pour participer à la Grande Guerre. Une blessure vint interrompre momentanément cette carrière, à défaut d'interrompre sa vie. Affecté au ministère de la Guerre, il devait travailler pendant deux ans, près du général Galliéni, dont il fut un des élèves. Il repart en opérations extérieures au Togo. Au ministère des Colonies et à l'École Militaire de Saint-Cyr, où il enseigna la géographie. De retour en opérations extérieures au Cameroun, il y rencontra le célèbre docteur Eugène Jamot, vainqueur de la maladie du Sommeil, propagée par la mouche Tsé-Tsé. Là, devait se terminer le temps de l'expatriation Outre-Mer. Il fut appelé à la Maison militaire de la Présidence de la République, à l'Élysée, par le Président Paul Doumer et confirmé ensuite dans ses fonctions par le Président Albert Lebrun, jusqu'en 1940. Il pressentait le désastre d'une défaite de nos armées et mettait un terme à sa carrière à Bordeaux, avec le sentiment, comme son père, le colonel d'Etat-Major-Général Joseph Marsaud, la veille de sa mort, qui s'était écrié : « J'ai fait mon devoir. Vive la France! » Christian Marsaud de Labouygue, repose au Pays Basque, sa seconde patrie, qu'il aimait tant, dans le petit cimetière de Saint-Pierre-D'Irube.

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