"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En reprenant les données et mesures les plus récentes, fournies par les multiples rapports et documents du GIEC, le physicien François Gervais donne des arguments raisonnables et validés par la communauté scientifique pour faire baisser l'angoisse de « fin du monde » qui pèse sur les populations occidentales.
L'effet dit « de serre » du CO2, qu'il soit d'origine naturelle ou anthropique, a effectivement échauffé l'air mais seulement de 0,4°c depuis 175 ans.
Les modèles climatiques alarmistes se contredisent puisque leurs projections révèlent une incertitude invraisemblable de 500 % (!) , jusqu'à 16 fois supérieures aux observations menées depuis 175 ans...
La pauvreté, la faim et les maladies qui écourtaient la vie sont plus faibles que jamais, et l'espérance de vie en bonne santé s'est allongée en grande partie grâce aux progrès qui n'auraient pu être rendus possibles sans les ressources fossiles, abondantes et bon marché. En un siècle, la population mondiale a quadruplé, l'espérance de vie a plus que doublé, un pourcentage bien plus faible de la population mondiale vit dans la pauvreté, la richesse mondiale a été multipliée par vingt, pour partie grâce à une consommation d'énergie multipliée par seize, la productivité, l'efficacité énergétique et les rendements agricoles ont progressé.
Physicien, professeur émérite à l'Université de Tours, François Gervais a été directeur d'un laboratoire du CNRS (UMR 6157) et expert reviewer des rapports AR5 et AR6 (2022) du GIEC.
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