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Étienne Hajdu, sculpteur français né en Roumanie en 1907, décédé à Paris en 1996, travaille la pierre, les marbres, l'aluminium et le plomb martelé, dans un style dépouillé tout en ellipse. Il a également une oeuvre sur papier conséquente : « je dessine pour avoir la liberté d'imaginer ». Inspiré par la figure humaine et la nature, cet héritier spirituel de Brancusi considère le volume comme le réceptacle de l'émotion. La célèbre galeriste Jeanne Bucher lui écrivait : « Ce que vous écrivez de la nature, où le moindre insecte doit avoir le traitement d'un Dieu, est l'expression la plus pure de ce que signifie l'Art ». Grand Prix national de sculpture en 1969, sa renommée atteint son apogée dans les années 1955-1970, où il entretient une amitié avec le Président Georges Pompidou, collectionneur d'avant-garde.
Juliette Laffon établit la première monographie de ce sculpteur dont la notoriété a dépassé les frontières françaises : « L'oeuvre rare et singulière de Hajdu, sensible, d'une sensualité discrète mais non dénuée de violence dans ses bas et hauts-reliefs en métal, doit être reconsidérée à l'aune de notre regard d'aujourd'hui ». Étienne Hajdu ne pouvait espérer meilleur hommage de l'ancienne directrice du musée Bourdelle, celui-là même chez qui il avait commencé sa formation artistique.
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