80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Des familles juives témoignent de leur retour à un nom « juif » francisé pendant ou après la Shoah. Jusqu'en 2011, il était impossible de revenir à un nom changé par des familles déterminées à protéger leurs enfants de l'antisémitisme. Les requérants étaient déboutés quasi systématiquement au motif, entre autres, de la consonance étrangère de leurs noms : on ne change pas un nom qui a été francisé. Telle était la position du Conseil d'État. Depuis 2010, des demandes de re-nom déposées par le collectif « la force du nom » ont été acceptées. Cela signifie un revirement de jurisprudence. Que disent ces familles qui portent aujourd'hui à nouveau le nom de leurs ancêtres d'avant la Shoah ?
Alexandre Beider, spécialiste d'onomastique juive, propose une analyse linguistique et socio-historique de chacun des noms des familles qui témoignent dans ce livre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année