Les syndromes de douleurs courantes au dos, au cou et aux épaules ont atteint l'ampleur d'une épidémie et tout cela parce quelles sont devenues les défenses privilégiées contre les émotions refoulées. Presque aucune personne y étant sujette ne fait la relation avec des facteurs émotionnels. Au contraire, tout le monde pense que cela provient d'une blessure ou d'anomalies congénitales et dégénératives de la colonne vertébrale.
Il existe un ensemble de troubles qui font partie du répertoire du STM (syndrome de tension musculaire) et que l'on attribue à une pathologie associée aux tissus mous (fibromyalgie, fibrosite, myofasciite, entre autres) mais là aussi, on pense à une blessure, à une défaillance musculaire ou à quelque chose de similaire, bref le parfait camouflage.
"Tant que notre attention se centralise sur la douleur, il n'y a aucun danger que les émotions soient démasquées." En s'appuyant sur des cas spécifiques et sur des recherches approfondies en matière de relation corps-esprit, le docteur Sarno nous décrit comment ses patients découvrent petit à petit les racines émotionnelles de leur STM et arrivent à :
Supprimer le lien entre la douleur mentale et la douleur physique ;
En 2 ou 6 semaines ;
Sans pratiquer d'exercice ou de rééducation ;
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