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« Toutes mes sculptures, même les plus imaginées, partent toujours de quelque chose de vrai, d'une vérité organique.
L'imagination a besoin de départ. On peut ainsi déboucher de plain-pied dans la poésie. J'invente plus facilement en regardant la nature, sa présence me rend indépendante. » Germaine Richier, née le 16 septembre 1902 à Grans (Bouches-du-Rhône), et morte le 31 juillet 1959 à Montpellier (Hérault), est une sculptrice française.
L'oeuvre de Germaine Richier est représenté dans de nombreux musées français et étrangers et particulièrement :
- Antibes, musée Picasso.
- Montpellier, musée Fabre.
- Paris, musée national d'Art moderne, Centre Pompidou.
Germaine Richier s’est affirmée comme une artiste à part entière des temps modernes donnant des représentations singulières et percutantes. L'exposition au Musée Pompidou (jusqu'au 11 juin 2023 : profitez pour ceux qui peuvent) permet de voir / découvrir ces (ses) œuvres (majeurs).
Cette petite collection laisse la place aux seules oeuvres et aux paroles des artistes. Petit florilège :
« J’aime la vie. J'aime ce qui bouge. Pourtant je ne cherche pas à reproduire un mouvement. Je cherche plutôt à y faire penser. Les statuts doivent donner à la fois l'impression qu'elles sont immobiles et qu'elles vont remuer. » p10
« Ce qui caractérise une sculpture, c'est la manière dont on renonce à la forme solide et pleine. Les trous, les perforations éclaire la matière qui devient organique et ouverte. Ils sont partout présents et c'est par là que la lumière passe. Une forme ne peut exister sans l'absence d'expression et l'on ne peut nier l'expression humaine comme faisant partie du drame de notre époque. » p 20
« Tu sais, je ne veux pas une sculpture analysée au demi-centimètre carré, je veux le résultat d'une conception, d'un savoir, d'une audace, le tout si possible très vivant. C'est te dire tout simplement que je n'envisage pas une sculpture de plusieurs mois de travail, je veux aller directement si possible. » p 22
« Ma nature ne me permet pas le calme, on est comme on est, et là je ne me rends pas douce et sereine, Non pas que je bataille mais c'est en moi, avec moi. Plus je vais, puis je suis certaine que seul l'humain compte ».
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