80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dès le premier regard sur les images produites par le jeune artiste coréen Ilwha Hong, il semble difficile d'ignorer que ses femmes ont conscience d'être vues. Ces femmes de pub, aux corps parfaitement irréels, d'une plastique de « News » branchés, se métamorphosent alors en monstres capables de mettre le doigt sur notre propre monstruosité morbide, telles les chiens Actéons.
La maîtrise classique du médium peinture (apprise dans les écoles d'art coréennes) emprunte au registre de l'imagerie publicitaire l'idéal du corps retouché « Peintureshop », image virtuelle fabriquée pour vendre, du tracteur aux cosmétiques, tous les objets de notre société de consommation censés à l'origine alléger notre quotidien, transformés progressivement en choses servant à combler du vide, notre vide.
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