Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
Dans les années 1770 se forme un véritable dialogue épistolaire entre François Tronchin et notamment les philosophes Denis Diderot, Frédéric-Melchior Grimm, le prince Dimitri Galitzine (ambassadeur de Russie à La Haye), Ivan Betzky (ministre des Beaux-Arts de Catherine II de Russie), le sculpteur Étienne-Maurice Falconet, alors à Saint-Pétersbourg pour réaliser la statue du tsar Pierre le Grand et le peintre genevois Jean Huber. Il ressort de cette correspondance un rare échange inédit d'idées théoriques sur l'opposition entre l'imitation de la nature et l'imitation de la sculpture antique qui s'insère dans un débat plus général en Europe à cette époque sur cette question.
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