80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il fut un temps où l'on se plaisait à attribuer aux images des pouvoirs merveilleux : on imaginait qu'elles étaient vivantes, ou qu'on pouvait y entrer comme dans un autre monde; on leur attribuait toutes sortes de propriétés fictives, en les sachant fictives. L'image n'était pas alors uniquement le site d'une fiction, mais une fiction en elle-même. Ce temps est toujours le nôtre. Cet ouvrage propose d'examiner la façon dont le cinéma, avec les pouvoirs optiques et sonores qui sont les siens, active cette tendance fondamentale de l'être humain à attribuer aux images des propriétés fictives. Cette tendance ne se manifeste pas uniquement au travers de récits filmiques. Elle informe, beaucoup plus profondément qu'on ne le croit, notre expérience de spectateurs ordinaires de cinéma. Et elle est pour l'historien et l'analyste d'images assez sages (c'est-à-dire suffisamment déraisonnables) pour ne pas rompre avec leur imagination, une source essentielle de découverte.
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