80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Au milieu du XXe siècle, la baisse de la pratique religieuse, la concurrence du sapin et du père Noël et l'invasion du plastique pouvaient laisser croire que la coutume de faire la crèche allait disparaître.
Or il n'en est rien. On assiste même depuis une trentaine d'années à un engouement surprenant pour ce symbole de Noël, dans les familles, les associations, les espaces publics comme chez les artisans et les artistes. Le phénomène a pris une telle ampleur que le musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, à l'heure où il s'installe à Marseille, patrie du santon et berceau de la crèche provençale, s'est interrogé sur sa signification.
Chercher un réconfort dans les rituels de son enfance, défendre ses traditions régionales, redonner à la fête de Noël son sens religieux ou humaniste, s'adonner à sa passion pour le bricolage ou la miniature, les motivations des amateurs de crèches sont multiples de Barcelone à Cracovie, de Naples à Prague, de Lisbonne à Marseille. A travers les oeuvres et les témoignages présentés dans cet ouvrage, on peut découvrir les multiples facettes de ce phénomène contemporain.
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