"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le 25 décembre 1959 naissait le sixième enfant de Geneviève Duboscq qu'elle nomme Noël Il pesait 4 kilos Un mois et demi plus tard, rejetant toute nourriture, il n'en pesait pas plus de 2. Le 20 février, il était dans le coma Ayant perdu son premier garçon dans des circonstances semblables, Geneviève Duboscq ne pouvait se résigner à voir mourir un deuxième de ses enfants. Le médecin lui ayant dit « À moins d'un miracle, il est condamné », elle se mit à prier de toutes ses forces, promettant à Dieu que, si l'enfant vivait, elle irait à Jérusalem à pied Et l'enfant vécut. C'est ainsi que Geneviève Duboscq mutilée à 90 partit du Havre le 13 juillet 1965 pour Jérusalem, avec un âne pour seul compagnon. En trois mois, elle parcourut 4 100 km jusqu'à Istanbul L'approche de l'hiver l'empêchant de passer les monts Taurus, au sud de la Turquie, elle fit les derniers 1 800 km en car et arriva à Jérusalem le 30 octobre.
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