"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au commencement était le Verbe et le Verbe était Dieu" Ainsi débute l'évangile selon Jean. Le verbe est la Parole. La parole s'envole. Les écrits restent. Ils persistent au-delà de nos vies et laissent des messages. Allant de l'imparfait au plus-que-parfait, du passé au présent, tendant vers le futur, les verbes sont des témoins pour attester et transmettre. En courts tableaux concerts, quatre-vingt-un verbes font le spectable. Impératifs metteurs en scène, actifs acteurs, passifs spectateurs, leur infinitifs vous présentent des saynètes pour aimes, sourire, pleurer, bondir, réagir. Du premier verbe, "abajir" seul néologisme mais combien important car il exprime le summum d'aimer, au dernier de la liste, "vivre", vous parcourrez un chemin dont le milieu est "être", apparemment logique, mais plutôt surpenant. La vie est fin en soi. Elle comprend la mort. A la suite de ses deux premiers livres " grand publicé, l'auteur poursuit dans cet essai son trvail d'humaniste pour soumettre à autrui des pièces de réflexion sur le bonheur de vivre et la recherche d'une mort paisible ("eu-thanatos"). Ces pèces sont décorées selon l'humeur du jour par l'actualité 2015, l'histoire, la littérature, les arts, les sciences, la philosophie et enricies d'un index de plus de six cents références,
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