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Cet ouvrage illustre le cheminement qui, au XIXème siècle, libère la peinture de paysage du statut de genre mineur. Les artistes, en s'éloignant du « grand genre », étaient à la recherche de la vérité des sensations éprouvées devant la nature. Corot et Courbet, en peignant en plein air et non plus exclusivement en atelier, feront que le paysage va connaître un véritable renouveau et une reconnaissance inédite, et ouvrirons la voie aux impressionnistes. Des nouveautés techniques permettent à ces peintres de passer leurs journées en plein air : le chemin de fer, l'invention des tubes de couleurs... Les fonds du Musée des Beaux-Arts de Reims ici présentés permettent de montrer l'évolution de cette nouvelle manière, en France, au XIXème siècle et au-delà : Corot, l'un des premiers à peindre sur site - onze de ses toiles, qui sont la richesse du musée rémois, sont présentées dans cette publication - ; Courbet ; l'école de Barbizon, puis Boudin, Jongkind, Ziem et enfin Marquet, Monet, Renoir, Sisley, Thaulow entre autres, jusqu'aux modernes Bocquet, Esteban et Sima. Un art qui regagne aujourd'hui la faveur du public, en raison de notre sensibilité envers la nature menacée.
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