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Ce huitième numéro est consacré au préfixe Trans. D'un usage courant au xix e siècle et sans emploi autre que linguistique, le préfixe « trans » apparaît comme l'un des marqueurs du xx e - xxi e siècle, au point qu'il pourrait avoir un impact conceptuel à même de nous aider à réfléchir la complexité aussi bien en arts que dans les relations que le monde entretient à l'oeuvre d'art.
Par-là, la notion de « trans » induit l'idée d'un passage, d'un mouvement qui permet de penser un prolongement, une variation ou une mutation, une dérivation, une continuité sous une forme différente, un glissement sémiotique autant qu'une nouveauté sémantique.
Soit la représentation d'un nouveau modèle d'évolution où les figures de centre et de périphérie seraient concurrencées par des configurations qui privilégient la déportation, la translation, l'écart... à la rupture.
Éminemment politique in fine, l'usage du « Trans » dans la langue induit une approche renouvelée des modes de production et des modes de perception/réception des activités humaines artistiques.
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