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Deux études sur la Katha Upanishad

Couverture du livre « Deux études sur la Katha Upanishad » de K. Coomaraswamy A. aux éditions Arche Edizioni
  • Nombre de pages : 144
  • Collection : (-)
  • Genre : Religion
  • Thème : Religion
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

« Dans le New Indian Antiquary, Ananda K. Coomaraswamy étudie différents passages difficiles et souvent mal interprétés de la Katha Upanishad ; au cours de cet examen, il aborde de nombreuses questions fort importantes, et nous ne pouvons ici qu'en énumérer sommairement quelques-unes des... Voir plus

« Dans le New Indian Antiquary, Ananda K. Coomaraswamy étudie différents passages difficiles et souvent mal interprétés de la Katha Upanishad ; au cours de cet examen, il aborde de nombreuses questions fort importantes, et nous ne pouvons ici qu'en énumérer sommairement quelques-unes des principales: la signification réelle de la Mort (Mnryu ou Yama) sous son aspect supérieur et de son identification avec le Soleil, en tant que gardien du passage désigné lui-même comme la porte solaire, et par lequel est atteint l'état ultime et extra-cosmique, 1'''Empyrée'' distingué de l'''Élysée'' sub-solaire qui est encore au pouvoir de la Mort; les trois morts représentées par les trois nuits passées par Nachikétas (c'est-à-dire, suivant le sens même de son nom, celui qui n'a pas encore la connaissance) au seuil de la demeure de Mrityu; la correspondance des trois faveurs demandées par Nachikétas avec les trois pas de Vishnu; le sens précis du mot srz'shti, qui pourrait être rendu par expression plutôt que par émanation, pour désigner la production du monde manifesté, et l'application de l'idée de mesure (mâtraj à l'acte même de cette production; le sens du mot n'ta, désignant proprement l'ordre cosmique, et auquel le mot d'ordre (ordo en latin), aussi bien que celui de rite, est d'ailleurs directement apparenté; le symbolisme du pont (sétu), coïncidant avec celui du sûtrâtmâ qui relie entre eux tous les états de l'être; l'union du manifesté et du non-manifesté (1!Yaktâ1!Yakta),comme une seule essence et deux natures, dans l'''Identité Suprême» René Guénon

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