"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans les années 1830, l'Orientalisme connaît en France, comme dans d'autres pays européens, son plein épanouissement. Nombreux sont les artistes, mais également les premiers touristes, en partance pour l'Orient. Dans le même temps, le voyage s'organise et devient moins aventureux. Les peintres français qui voyagent à cette époque partent à la recherche de sensations imprévues. Ne cherchant pas à pénétrer l'essence des choses, ils en restent aux impressions superficielles, cherchant à remplir leurs carnets de croquis en prévision du travail d'atelier au retour. La première partie de ce livre est consacrée aux conditions mêmes du voyage : affiches publicitaires des grandes compagnies maritimes, guides du voyageur, cartes et photographies de Constantinople. Dans la deuxième partie est évoqué le séjour des différents peintres contemporains de Félix Ziem venus en Orient et notamment ceux des écoles provençales et méridionales tels que François Barry (1813-1905), Fabius Brest (1823-1900), Charles de Tournemine (1812-1872), Jules Laurens (1825- 1901) et Félix Ziem (1821-1911). Enfin, la troisième partie du livre raconte comment la Corne d'Or est une source d'inspiration pour ces artistes notamment pour Emile Bernard (1868-1941) dont le lecteur découvrira des oeuvres inédites.
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