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Le musée d'Art Roger-Quilliot de Clermont-Ferrand a récemment retrouvé dans ses réserves une oeuvre présumée de Théodore Géricault dont l'attribution est aujourd'hui attestée. Cette Tête d'homme se rattache certainement à l'élaboration du Radeau de la Méduse.
À partir de cette redécouverte, une exposition réunira les études préparatoires, parfois inédites, de ce chef-d'oeuvre universel.
Elle a pour ambition de mettre en lumière les ressorts du génie créateur, les lignes de force de sa démarche d'artiste :
- le rapport à l'Autre qui imprègne totalement Le Radeau de la Méduse, hymne à la fraternité des peuples et miroir des débats politiques d'alors ;
- la connaissance de l'homme, dont Géricault explore tous les aspects, y compris les plus noirs (la folie avec les monomanes, les corps en putréfaction avec les études de cadavres).
Plus que le catalogue de l'exposition, ce recueil d'essais abondamment illustrés propose une relecture originale de l'oeuvre de l'un des plus grands génies du romantisme.
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