Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Malraux a appelé « irréelle » la peinture commencée à la Renaissance et « intemporelle » la peinture moderne. Avec son « allégorie réelle », dont son Atelier, objet central du livre, est le manifeste, c'est dans cet entre-deux que se place Gustave Courbet. Entre ce que la peinture était encore pour Ingres et Delacroix et ce qu'elle sera à partir de Manet : entre une « peinture de l'idéal » et un « idéal de la peinture ». C'est dans cet entre-deux, ce hiatus, dans ce qui semble une syncope et un passage, qu'apparaît Courbet.
Et c'est ce vide, cette ouverture qu'il crée et qu'il remplit à la fois, par son attitude rebelle, exigeant une force peu commune, par l'affirmation de l'individualité, de son individualité et par l'image de l'Artiste, sa propre image et presque son corps.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !