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Si les contacts et les conflits entre États et Civilisations ont toujours existé, avec les conséquences que l'on imagine, André Viala souhaite insister sur différents aspects moins connus du public comme, notamment, le fait que l'état des relations entre certains États ou Empires durant les périodes précédentes ont précisément abouti, à partir du XVIe siècle, à l'essor d'États nationaux tels que la France, l'Angleterre, ou divers États allemands et italiens. C'est alors que serait apparue la conception d'une Europe prenant le sens d'une unité de civilisation alors qu'elle n'était, jusqu'alors, qu'une notion géographique peu citée. Certains pays européens possédaient des colonies et prétendaient ainsi dominer des pays lointains, comme l'Angleterre avec les colonies d'Amérique et d'Inde.
C'est dans ce contexte bien particulier qu'André Viala a décidé d'examiner les relations internationales du XVIe au XVIIIe siècle. En effet, s'il est bien conscient que ces relations ont déjà été étudiées avant lui, l'historien reste persuadé qu'il manquait à ces analyses antérieures la connaissance des institutions internationales de l'ordre international qu'il intitule donc « Contacts et conflits entre États et Civilisations ». Ces développements introduiront des différences notables entre les relations entre des États et Empires européens d'une part, les rapports entre ceux-ci et les puissances musulmanes d'autre part et, enfin, entre les autorités européennes et celles des autres pays du monde.
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