"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Du Second Empire à la fin de la Première Guerre mondiale, la photographie connaît un important essor. La capitale est envahie de chambres noires, disposées par des centaines de photographes amateurs. Les temps de pose sont longs et ne permettent pas encore de " tirer le portrait ", mais il est déjà possible d'immortaliser rues et immeubles. Les vieux quartiers insalubres disparaissent progressivement.
Le coeur de la ville est reconstruit, les anciens villages annexés puis réaménagés, et les Expositions universelles se succèdent. Pendant ce temps, l'approvisionnement s'améliore. Les Halles centralisent les denrées et les habitants peuvent trouver toutes sortes de produits frais. Foires et fêtes foraines se multiplient et on apporte un soin particulier aux vêtements. La période est aussi marquée par le développement de la presse et de la publicité.
Les grands magasins s'installent, proposant une grande sélection d'étoffes et de produits, sans faire toutefois disparaître les " petits métiers " qui font le charme de la ville... Ce voyage à travers le temps, qui voit apparaître la tour Eiffel et le Sacré-Coeur, monuments particulièrement emblématiques, permet de découvrir le Paris d'alors.
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