Ce livre est en gros caractères.
Justine trouve que sa grand-mère est soucieuse. Cacherait-elle un douloureux secret ? Quant à sa mère, elle aussi a la tête ailleurs, comme si quelque chose ne tournait pas rond. Et si, dans cette histoire, chacune avait besoin de l'autre pour avancer, pardonner, et aimer ? Le portrait de trois générations de femmes aux prises avec l'amour, la culpabilité et la possibilité du bonheur. Un roman drôle et irrésistible ! Foncez !
http://monmondedevasions.com/sonia-dagotor-ceux-qui-saiment-finissent-toujours-par-se-retrouver/
L’amour n’a pas d’âge.
C’est l’adage sur lequel se base l’auteure de ce roman ô combien feel good! Elle ne nous parle pas d’une mais bien de trois histoires d’amour vécues par trois générations de femmes d’une même famille : la grande mère, la mère et la fille.
Des histoires bien entendu très différentes les unes des autres avec leurs joies, leurs peines, leurs doutes, leurs non dits et leurs regrets…
Il est très intéressant de connaître le point de vue et les histoires de trois personnes à l’écart d’âge si important. On ne vit pas nos histoires d’amour de la même façon à 20, 50 ou 80 ans. Ces femmes n’ont pas vécu les mêmes expériences ni eu les mêmes éducations afin d’aborder cette partie de nos vies de la façon similaire.
Je me suis très vite attachée aux protagonistes : Justine, Liliane et Catherine. Elles sont toutes 3 sensibles et charmantes.
Le style d’écriture de Sonia Dagotor est toujours aussi distrayant. J’avais beaucoup aimé « Sortez moi de là ! » et je me suis de nouveau régalée dans ma lecture.
Si vous êtes à la recherche d’une lecture calme, simple mais non moins captivante n’hésitez pas et lancez vous, vous passerez un excellent moment de lecture!
Sélection Prix des Lecteurs 2021
Liliane, la grand-mère, Catherine, la mère et Justine, la petite fille sont toutes les trois à un tournant de leur vie amoureuse. Car c’est bien connu, il n’y a pas d’âge pour l’amour…
Deuxième roman « feel good » en lice pour le prix des lectzurs du livre de pochz 2021, je ne vais pas tant m’interroger sur la légitimité de ce genre de roman dans les prix littéraires (au risque de ne pas être totalement objective) mais tenter de le chroniquer comme n’importe quel autre livre.
L’idée d’une histoire sur trois générations m’a plu et l’effet page-turner a fonctionné sur moi, allongée confortablement sur mon transat… Ma lecture se déroulait plutôt bien jusqu’à l’épisode de la médium sortie de nulle part, tel un deus ex-machina. Je m’explique : ce n’est pas tant le recours à un médium qui m’a dérangé mais le côté expéditif pour dénouer la situation.
Dans ce roman choral, les trois protagonistes s'expriment à tour de rôle à la première personne du singulier. Cependant, le procédé m’a paru quelque peu superficiel car les personnages semblent parler d'une même voix. Dès lors, l’auteure insiste sur les rhumatismes de la grand-mère et le côté hyper-connecté de sa petite fille. Le seul personnage qui ne "sonne" pas faux est Catherine, la mère en pleine crise de la cinquantaine. Bref, j’aurai préféré un narration à la troisième personne.
Pour conclure, une lecture agréable certes mais un peu trop légère… comme le fait de mentionner la place du Capitole au détour d’une phrase pour situer l’action à Toulouse ( je mets de côté la référence à la chocolatine pour pain au chocolat ) !
Liliane, Catherine et Justine (Mamie, fille et petite fille), nous suivons "leur vie" à chacune.. on les découvre face aux mêmes problèmes mais on ne peut être du même avis ! plus on va dans sa lecture moins on le lâche ! 3 tempéraments différents ! les sentiments viendront ils ?
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