80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Voici un lot de marches hétéroclites. On se demande à leur lecture qui des montagnes ou de ses personnages s'enracineront au plus profond de notre mémoire. Le mimétisme aidant, probablement un peu des deux. C'est un amour au sommet, le vol des vautours sur un canyon, l'instant solitaire au bord d'un rio turquoise. C'est l'être hospitalier dans un lieu sans attrait, l'aïeul, le pâtre ou le fada. C'est la fraîcheur d'une source inespérée, d'une villa chaulée ou de l'ultime gorgée. C'est une péninsule sainte et codifiée, un repaire de Sages et de bougres patients.Ces chroniques rendent hommage aux êtres des versants. Elles sanctifient Pyrène, Atlas, l'Athos, et toutes ces sierras d'Aragon qu'on longe au lieu de les gravir. Elles aiment à honorer une montagne admirée, puis oubliée, une fois passé la brèche, l'estran ou les terrasses. Car l'essentiel se situe peut-être sur ses rebords charnus, plus bas...
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